Au sortir de la guerre, les temps sont durs et nous vivons sous le régime des restrictions et des tickets de ravitaillement. Qu’importe, tout le monde est heureux d’être ressorti à peu près d’aplomb de l’atrocité nazie. Les conditions s’améliorant, le RGM va avoir recours au car de Julien Visserot : de 7 à 87 ans, femmes et hommes prenaient le car. Et ça soudait le club... et le village, toutes générations confondues.
Va venir l’ère d’un président emblématique: Henri Brémond.
Dans la fin des années cinquante, l’équipe première brille en première division et elle parviendra même en demi-finale de la coupe Roumagoux.